On en dit
beaucoup de nos jours au sujet de la possibilité d’améliorer sa santé en
prenant l’habitude de se montrer optimiste, que ce soit devant un diagnostic
médical pénible ou une montagne de vêtements à lessiver. La doctoresse Barbara
Fredrickson, professeur de psychologie à l’Université de la Caroline du Nord,
dit que nous devrions tenter de faire des activités qui favorisent la joie, la
gratitude, l’amour et autres sentiments positifs. Nous ne sommes toutefois pas
sans savoir qu’il ne suffit pas de désirer être animé de bons sentiments. Il
faut encore avoir la certitude de pouvoir dépendre d’une source de joie, de
paix et d’amour fiable.
Le Psaume
37.1-8 nous propose des mesures positives à prendre comme remède contre le
pessimisme et le découragement. Envisagez ces remonteurs de moral :
« Confie-toi en l’Éternel, et pratique le bien ; aie le pays pour
demeure et la fidélité pour pâture » (v. 3) ; « Fais de
l’Éternel tes délices » (v. 4) ; « Recommande ton sort à
l’Éternel, mets en lui ta confiance » (v. 5) ; « Garde le
silence devant l’Éternel, et espère en lui ; ne t’irrite pas »
(v. 7) ; « Laisse la colère, abandonne la fureur »
(v. 8).
Étant donné
qu’elles sont reliées à l’Éternel, ces directives ne sont pas que des vœux
pieux ou des suggestions irréalistes. C’est Jésus qui les rend possibles, par
sa force.
Notre véritable source d’optimisme correspond à la rédemption qui s’offre à nous en Jésus. Ce dernier est notre raison d’espérer !