La corruption n’est pas toujours
évidente ; elle est parfois plus subtile et n’est pas toujours financière. La flatterie est un genre de corruption dont les mots sont la monnaie d’échange. Si l’on favorise certaines personnes qui parlent en bien de soi, c’est comme si on leur offrait un pot-de-vin. Pour Dieu, toute forme de partialité est une injustice. Il a même fait de la justice une condition à remplir afin de rester dans la Terre promise. Les Israélites devaient éviter de pervertir la justice et d’user de partialité (De 16.19,20).
La corruption prive autrui de justice, ce qui offense « le Dieu des dieux, le Seigneur des seigneurs, le Dieu grand, fort et terrible, qui ne fait point de favoritisme et qui ne reçoit point de présent » (10.17).
Heureusement, le Seigneur nous traite tous de la même manière, et il veut que nous nous traitions ainsi les uns les autres.
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La corruption engendre la partialité ;
l’amour engendre la justice. (RBC)