On a besoin d’un père et l’on veut avoir un père pour beaucoup plus qu’une aide financière. Bien que 1 Thessaloniciens 2.10-12 s’adresse principalement aux dirigeants de l’Église, Paul indique en quoi leur rôle est semblable à celui d’un père. Il déclare : « Vous savez aussi que nous avons été pour chacun de vous ce qu’un père est pour ses enfants. »
Le verbe « exhorter » signifie « appeler à s’approcher ». Il est facile pour un père de s’imaginer qu’il lui suffit d’apporter de l’argent à la maison, mais ses enfants ont besoin d’être encouragés de près.
Le verbe « consoler » signifie « réconforter ». Rien ne saurait avoir plus de valeur pour l’enfant que d’obtenir de son père qu’il passe du temps à l’écouter et à parler avec lui. Les relations que l’on n’entretient pas constamment se refroidissent.
Le verbe « conjurer » signifie « confirmer ». Le père incite ses enfants à confirmer la vérité de la Parole de Dieu en vivant celle-ci sous leurs yeux. Et malgré ses échecs, il confirme ce qui est bien en demandant pardon.
Le père qui aide ses enfants à « marcher de manière digne de Dieu »(v. 12) mérite toute notre gratitude.
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LES BONS PÈRES SONT LE REFLET DU PÈRE CÉLESTE.(RBC)
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